Recensement des exploitants et exploitations agricoles : le Ministre de l’Agriculture et la représentante de la FAO procèdent à la signature du document du projet d’assistance préparatoire

© Ministères par DR Recensement des exploitants et exploitations agricoles : le Ministre de l’Agriculture et la représentante de la FAO procèdent à la signature du document du projet d’assistance préparatoire Le Cabinet du Ministre de l’Agriculture a abrité, le vendredi 11 janvier 2013, une cérémonie de signature conjointe entre la Côte d’Ivoire et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), du document du projet d’Assistance préparatoire au recensement des exploitants et exploitations agricoles. Le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly et Mme Marie-Noëlle Koyara ont paraphé le document en présence de plusieurs membres du Cabinet du Ministre de l’Agriculture et du représentant de la délégation de la Commission européenne, M. Didier Nils

Vos outils REAGISSEZ Share on facebook Share on emailShare on print Vidéos Ministère de la justice: Les procureurs simplice Koffi et Fofana Ibrahim relevés de leurs fonctions. RTI - 13/1/2013   Dans le dossier Activités gouvernementales 2013

Le Cabinet du Ministre de l’Agriculture a abrité, le vendredi 11 janvier 2013, une cérémonie de signature conjointe entre la Côte d’Ivoire et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), du document du projet d’Assistance préparatoire au recensement des exploitants et exploitations agricoles. M. Mamadou Sangafowa COULIBALY, Ministre de l’Agriculture, représentant l’Etat de Côte d’Ivoire, et Mme Marie-Noëlle KOYARA, Représentante de la FAO en Côte d’Ivoire, ont procédé au paraphe de ce document en présence de plusieurs membres du Cabinet du Ministre de l’Agriculture et du représentant de la délégation de la Commission européenne, M. Didier Nils.

Dans son discours, Mme Koyara a indiqué que la réalisation du recensement des exploitants et des exploitations agricoles revêt pour le Gouvernement de Côte d’Ivoire un caractère prioritaire dans son programme de dynamisation du secteur agricole. Cette investigation de grande envergure, est aussi, selon elle, l’occasion d’une réflexion institutionnelle sur la construction d’un système national de statistique agricole durable, l’optimisation des ressources et l’articulation entre les données structurelles et les données des enquêtes sur la production agricole et sur l’évolution du secteur agricole et de l’espace rural.

Pour Mme Koyara, les données statistiques agricoles étant devenues obsolètes du fait des crises successives que le pays a traversées, il apparait urgent de disposer d’un panorama actualisé et complet de l’agriculture ivoirienne dans toutes ses dimensions pour mieux éclairer les politiques de développement sectoriel.

Le Ministre de l’Agriculture a remercié la FAO d’avoir répondu si promptement à la requête de l’Etat de Côte d’Ivoire et affirmé que tant que le monde paysan ne sera pas bien structuré, aucune reforme aussi pertinente soit-elle, qui doit reposer sur les acteurs eux-mêmes, n’aura de chance ce succès. Selon le Ministre de l’Agriculture, avec la base de données qui sera établie, le mouvement coopératif pourra être assaini.

L’objectif de ce projet est d’apporter un appui technique au Gouvernement pour mener à bien les travaux préparatoires du Recensement des Exploitants et Exploitations Agricoles (REEA).

Il s’agit précisément de :
- Elaborer la méthodologie et les documents techniques du recensement sur la base du contenu du Programme mondial du recensement de l’Agriculture 2010 recommandé par la FAO.
- Elaborer la méthodologie et les programmes de traitement informatique.
- Appuyer le traitement informatique, l’analyse et la publication des résultats des modules de base et des données communautaires.
- Finaliser le document du projet principal du recensement des exploitants et des exploitations agricoles.
- Appuyer le Gouvernement dans la mobilisation de ressources complémentaires.

Source : Ministère de l’Agriculture

© Autre presse par DR Le Directeur General des Douanes, le Colonel Major Issa Coulibaly Mercredi 13 décembre 2012, Au cours d`un point de presse à la salle de conférence ANGOUA KOFFI de la Direction Générale des Douanes

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Le Directeur General des Douanes, le Colonel Major Issa Coulibaly, a animé un point de presse ce Mercredi 13 décembre 2012, à la salle de conférence ANGOUA KOFFI de la Direction Générale des Douanes.

De prime abord, le patron des Douanes Ivoiriennes a tenu à circonscrire l'objet de la rencontre. Celui-ci est relatif à la moralisation dans nos Administrations qui passe par une lutte sans concession contre les maux qui les minent à savoir la corruption et ses dérivés.
Il a aussi rappelé son ambition depuis sa prise de fonction, celle de faire de la Douane, une Administration : moderne, modèle et performante.

Le Directeur General des douanes a profité de cette occasion, pour prendre à témoin la presse en lui demandant de transmettre à ceux qui douteraient de la détermination de notre Administration qu’il n'hésiterait pas à sanctionner, à punir ceux des nôtres qui se montreraient indélicats, laxistes ou fautifs de graves manquements.

Pour preuve, deux agents ont été appréhendés et relevés de leurs fonctions. Leur cas est actuellement devant les instances correctionnelles de notre Administration. Il s’agit du Commandant Kouassi Emile, Chef de bureau au port de pêche et de Zah Paulin, agent d’encadrement.

Concernant le cas du Commandant Kouassi Emile, il lui est reproché une légèreté dans le contrôle d’un navire coréen dénommé «Lucky 101» qui a accosté au port sans aucune vérification de la cargaison. Ce chef de bureau offrait également la possibilité de non manifestation de la totalité de leur cargaison.

Quant au cas Zah Paulin, le Dg des douanes a fait remarquer qu’il a laissé passer des marchandises, sans faire des vérifications et le contrôle de routine. Un fait qui a occasionné une perte de 30 millions au Trésor Public.

Économie

Association Internationale des Services du Trésor : Mr KONE Adama, Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité de Côte d’Ivoire élu Président

© Ministères Association Internationale des Services du Trésor : Mr KONE Adama, DG du Trésor et de la Comptabilité de Côte d`Ivoire élu Président Les 15 et 16 Novembre 2012 s’est tenu à Hammamet en Tunisie le colloque de l’Association Internationale des Services du Trésor. A l’issue des travaux le Côte d’Ivoire a été doublement honorée. En marge du Colloque, l’Association a tenu son Assemblée Générale annuelle qui a vu l’élection à l’unanimité de Monsieur KONE Adama Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité Publique de la Côte d’Ivoire en qualité de Président pour un mandat d’un an

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Les 15 et 16 Novembre 2012 s’est tenu à Hammamet en Tunisie le colloque de l’Association Internationale des Services du Trésor. A l’issue des travaux le Côte d’Ivoire a été doublement honorée.

En marge du Colloque, l’Association a tenu son Assemblée Générale annuelle qui a vu l’élection à l’unanimité de Monsieur KONE Adama Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité Publique de la Côte d’Ivoire en qualité de Président pour un mandat d’un an. Il succède ainsi à Monsieur Bernard Limal, délégué du Directeur Général des finances publiques de la France .

En outre, la Côte d’Ivoire a été désigné pour abriter le prochain colloque prévu pour 2013.
Ouvert par le Ministre des Finances tunisien, M. BESBES, ce colloque s’est attaché à définir, dans le contexte de la crise économique et financière actuelle et des printemps arabes, l’importance de la réforme comptable comme outil de contrôle démocratique. La comptabilité publique et la qualité de l’information qu’elle contient jouent en effet un rôle déterminant pour rendre compte et évaluer l’action publique.

L’information comptable ne doit plus se cantonner à la seule sphère administrative et doit alimenter le débat public en se tournant vers le citoyen et le Parlement. Or c’est par la réforme comptable, dont le nécessaire progressivité a été soulignée, que cette transformation va pouvoir s’opérer.

Les débats sur la crise financière et monétaire ont également conduit les participants à s’interroger sur les moyens de gestion de la trésorerie de l’Etat et de son financement sur les marchés.

La nécessité de sécuriser son financement pousse chaque Etat à prévoir les moyens nécessaires pour s’adapter au mieux aux besoins de financement mais également de mettre en œuvre une stratégie permettant de les garantir sur le long terme.

Ces thèmes d’études ont rencontré un franc succès auprès de tous les participants qui ont unanimement salué la qualité des échanges et de l’organisation.